Conversations avec Dieu – Tome 1

J’ai eu l’occasion de découvrir dernièrement un ouvrage rédigé par Neale Donald Walsch, écrivain américain. Ce dernier connu sous le nom de “Conversations avec Dieu” a été publié en 1995 et vendu à près de 7 millions d’exemplaires à travers le monde. Le contexte particulier dans lequel l’auteur affirme avoir écrit ce livre a retenu mon attention. J’ai apprécié ces enseignements et souhaite en partager quelques-uns avec vous, en espérant qu’ils vous soient utiles.

 

Les affirmations de Neale Donald Walsch 

J’ai évoqué dans l’introduction la particularité du contexte dans lequel Neale Donald Walsch affirme avoir écrit ce livre. Cette phrase a probablement dû retenir votre attention. Laissez-moi vous donner un peu plus d’indications à ce sujet.

Dès le début de l’ouvrage Neale Donald Walsch nous explique avec le plus grand sérieux que les enseignements qui vont suivre ne sont pas les siens. Voilà de quoi intriguer le lecteur qui s’apprête à parcourir ces pages !

Alors, de quoi s’agit-il exactement ? En effet, selon l’auteur l’ouvrage retranscrit, de la manière la plus fidèle possible, une conversation entre Dieu et lui effectuée par le biais d’une séance d’écriture automatique. Le livre se compose principalement d’une importante série de questions-réponses.

Durant l’année 1992, Neale Donald Walsch vivait une période particulièrement difficile de sa vie. Empli de sentiments éprouvants et de multiples questionnements sur le sens de l’existence, il se mit à griffonner quelques-unes de ses interrogations sur une feuille de papier. C’est alors qu’à sa plus grande surprise, sa main fut suspendue par une force invisible et la plume qu’il tenait se mit à bouger d’elle-même, inscrivant des réponses.

Ainsi Neale Donald Walsch ne se présente pas directement comme l’auteur de l’ouvrage, mais comme un simple messager des informations qui lui ont été transmises. D’abord persuadé que les données obtenues lui étaient destinées, il a finalement estimé qu’elles avaient une valeur universelle. Il les publie alors dans l’objectif d’aider de nombreuses personnes à se développer personnellement.

Faut-il le croire ?

En lisant la première partie de cet article, vous êtes probablement sceptique.

Faut-il réellement croire un homme qui affirme parler avec Dieu ?

Je n’ai pas de réponse toute faite à apporter à cette question.

Il est de la liberté de chacun de juger du témoignage de Neale Donald Walsch.

Cependant quel que soit le résultat de votre réflexion et de votre ressenti à ce sujet, il n’annule en rien l’intérêt de ce livre. Selon moi, l’important n’est pas réellement de savoir qui est l’auteur de ces enseignements, mais simplement de prendre ceux qui résonnent en soi.

Nous perdons trop de temps à dénigrer ce qui nous entoure, plutôt qu’à agir intelligemment dans chaque situation. Il n’est pas nécessaire d’approuver l’ensemble d’une personne, d’une situation ou d’un propos pour en tirer des outils d’évolution terrestre. En toutes circonstances, il faut faire preuve de discernement vibratoire pour prendre uniquement ce qui nous paraît bon.

Neale Donald Walsch insiste également sur le fait qu’il est possible de remplacer le terme “Dieu” par celui qui nous convient. La Vie, la Source, l’Univers, la Nature, peu importe comment vous le nommez. L’auteur tend à se détacher du Dieu des grandes religions monothéistes pour se rapprocher d’un Dieu interne à chacun, dépourvu des caractéristiques des êtres humains.

Quand Dieu communique avec les hommes 

Dans une première partie, le livre aborde la manière dont Dieu communique avec les hommes. Il s’agit d’une interrogation universelle au travers des âges. Beaucoup d’êtres humains ont l’impression de ne pas être entendus par Dieu. Ils se plaignent que leurs prières semblent rester indéniablement sans réponse.

Pourtant, selon la voix divine transmise à Walsch : “la question n’est pas à qui je parle, mais qui écoute ?” signifie qu’aucune prière ne reste sans réponse. Dieu parle à chacun, tout le temps. Le problème n’est pas la réponse de Dieu, mais la capacité de l’homme à recevoir cette réponse .

Il est préférable de remplacer le terme “parler” par “ communiquer ”. Dieu ne parle pas seulement aux hommes par les mots car pour celui-ci, ils sont l’outil de communication le moins performant. Ils sont sujets à interprétation subjective de chacun et donc inévitablement aux erreurs de compréhension.

Dieu priorise la communication en induisant en l’homme des sentiments, des images et des expériences. Ces trois moyens d’échange sont profondément plus pertinents que les paroles. Ils sont également des messages beaucoup plus forts et personnels qui s’adaptent de manière parfaite aux besoins de chaque individu.

La voix de Dieu est une voix interne à soi-même. Elle est plus proche de l’homme  et plus fiable. Elle est le radar qui règle la trajectoire.

Pourtant de nombreuses personnes ignorent chaque jour les messages de Dieu, soit qu’ils donnent l’impression d’être trop difficiles à appliquer, soit qu’ils paraissent trop beaux pour être vrais ou encore parce qu’ils ne les entendent pas et ne les comprennent pas. L’être humain a tendance à fixer la porte avec détermination quand Dieu ouvre en fait une fenêtre juste à côté.

Pourtant celui qui est incapable de tirer profit des messages de Dieu au travers de ses expériences, de ses sentiments et de ses pensées est voué à reproduire indéfiniment les mêmes schémas et les mêmes erreurs. Ce que l’homme refuse d’apprendre par la sagesse, il l’apprendra par la souffrance. Beaucoup de personnes remarquent d’ailleurs qu’elles attirent régulièrement dans leur vie les mêmes maux, problèmes ou situations.

Certaines personnes ont des sentiments et des pensées dont Dieu n’est nullement le promoteur. Il est donc important de faire preuve de vigilance les concernant.

Pour distinguer ce qui provient de Dieu et ce qui provient d’une autre source il faut écouter ses ressentis les plus profonds ! L’ouvrage indique que notre pensée la plus élevée, notre parole la plus claire, notre sentiment le plus magnifique proviennent toujours de Dieu. Le reste n’est que chimère.

Pour ma part, je résumerais cela par le discernement vibratoire : savoir être assez à l’écoute de ses intuitions pour différencier les niveaux de fréquences vibratoires de ce que l’on perçoit. Cette recommandation est valable en toutes circonstances, surtout en cette étape actuelle de transition pour l’humanité.

La pensée racine  

Dans ce livre la voix divine que Walsch retranscrit définit la pensée racine par

la pensée derrière la pensée”.

Tout ce que nous faisons, pensons et disons est créatif. Mais c’est toujours la pensée racine qui contrôle ce que nous récoltons car elle est à l’image de ce que nous vibrons.

Par exemple, derrière beaucoup de supplications se cache une pensée racine qui dit que l’on obtient jamais ce que l’on demande. Ainsi la chance d’obtenir ce que l’on désire est mince. La pensée racine devient réalité. Il est donc préférable non de quémander, mais de solliciter avec conscience, en ayant la certitude profonde que Dieu donnera une issue favorable à la requête.

En outre la prière ne doit pas seulement être une revendication, mais aussi une Action de grâce. Il s’agit d’être simplement reconnaissant pour ce qui est. Beaucoup de personnes prient uniquement lorsqu’elles ont besoin de quelque chose. Elles en oublient de remercier pour ce qu’elles ont. Le lien avec Dieu ne doit pas se limiter à la demande, mais être également une exaltation permanente.

Pour ma part, je tends à dire que l’important n’est pas tant dans les mots que nous utilisons ou dans les pensées que nous avons, mais dans les vibrations qui se trouvent derrière ces mots et ces pensées. Les vibrations ne peuvent pas mentir, contrairement aux mots et aux pensées, elles sont le langage de l’Univers.

Par exemple, celui qui affirme d’une voix claire et confiante : “je veux devenir riche”, mais qui entretient des croyances limitantes au sujet de l’argent (“je ne mérite pas une somme d’argent importante”, “il faut choisir entre être riche et être quelqu’un de bien”, “si j’étais riche je ne saurais pas gérer mon budget”…) n’obtiendra rien. Pourquoi ? Parce qu’il vibre l’inverse de ses paroles (le manque, la crainte, le rejet de l’abondance…) à travers ses croyances limitantes.

Il ne s’agit pas d’une punition il est simplement question d’une loi universelle qui régit le fonctionnement de la création. Au même titre qu’il existe des lois physiques qui s’appliquent dans les dimensions 1, 2 et 3 telles que la loi de la gravité, il existe des lois énergétiques telles que la loi d’attraction  qui s’appliquent dans les autres dimensions dites “invisibles”.

Nous sommes donc les co-créateurs de notre existence. Le hasard n’existe pas. Nous ne nous découvrons pas, nous nous créons au fur et à mesure.

Ne cherche pas à découvrir qui tu es, mais cherche à définir qui tu veux être.”

Le livre explique également qu’il existe deux pensées racines principales : l’amour et la peur. Toutes les actions humaines sont motivées à leur niveau le plus profond par l’une de ces deux options. L’amour et la peur sont les énergies brutes qui propulsent le moteur de l’expérience humaine. La peur ne peut cependant subsister que parce que l’humain ignore sa valeur et son potentiel. L’être humain qui se reconnecte à la Source et à sa conscience supérieure tend vers l’amour.

On nous enseigne depuis toujours à vivre dans la peur. Nous vivons dans la peur de ne pas survivre dans ce monde de brutes.

Mais moi je t’enseigne ceci : lorsque tu choisiras l’action inspirée par l’amour, tu feras bien plus que survivre, bien plus que gagner ou que réussir, tu feras l’expérience glorieuse de qui tu es et de qui tu peux être.

La souffrance du monde 

Il n’est pas rare d’entendre cette remarque : “Si Dieu est amour et perfection, pourquoi permet-il la maladie, les catastrophes naturelles et tous les phénomènes source de souffrance pour l’homme ?”. Beaucoup de personnes ne peuvent concevoir l’existence de Dieu face à la souffrance du monde terrestre.

D’une part, dans une dimension règlementée par les lois de la matérialité comme la nôtre, il ne pourrait en être autrement. L’ensemble de la réalité terrestre est indéniablement soumise aux cycles naissance-mort. Ce que nous nommons “imperfection” fait partie intégrante de l’expérimentation du monde physique.

D’autre part, les hommes disposent du libre arbitre. Dieu ne saurait leur imposer quoi que ce soit. Il ne peut que les guider, les conseiller, les orienter mais nullement les obliger à obéir ou à emprunter un quelconque chemin.

Dieu ne contrecarre pas la volonté des hommes. Une grande part des souffrances sur terre est le fruit non pas de Dieu, mais des choix et du comportement humain et donc de la volonté humaine. “Je ne fais pas en sorte que ces choses arrivent, je me contente de vous observer en train de les faire” .

L’existence terrestre est une expérience qui permet à une âme d’évoluer, de se définir au travers d’épreuves. Ce qui nous paraît être une souffrance dans l’instant présent, au regard de notre conscience terrestre, ne l’est pas nécessairement au regard de notre conscience supérieure. Notre conscience supérieure dispose d’éléments auxquels notre conscience terrestre n’a pas accès. Elle a une vision globale du plan choisi par notre âme.

N’envie pas le succès, ne plains pas l’échec, car tu ne sais pas ce qu’est le succès ou l’échec aux yeux de l’âme. Ne dis pas qu’une chose est une calamité ou un évènement joyeux avant d’en être témoin ou de déterminer de quelle façon elle est utilisée” affirme la voix divine du livre.

La position de l’homme face à la souffrance du monde 

Bien que nous n’en ayons pas souvent conscience, rien ne se produit sans que nous ne donnions notre consentement, direct ou indirect. Cela va de pair avec le libre arbitre, appelé également la loi de non-interférence.

Cela signifie que non seulement, nous donnons inconsciemment notre consentement à des êtres ou des forces qui n’ont pas les meilleures intentions pour l’humanité, mais également que nous co-créons en permanence notre réalité.  Il est donc important de reprendre sa part de responsabilité face à la souffrance.

Toutes les situations de l’existence sont pour nous des occasions de décider ce que nous voulons être. Ce sont nos choix individuels qui définissent notre réalité et c’est l’assemblage des choix individuels de chacun qui définissent une réalité collective. Les calamités mondiales sont donc le résultat d’une conscience mondiale.

Nous n’avons pas seuls la force de changer une réalité créée collectivement, mais nous pouvons cependant modifier notre rapport à la réalité collective. Si tu ne peux changer l’expérience extérieure, il te faut alors changer ton expérience intérieure. Il s’agit de la seule voie de la maîtrise de la vie.

Changer le monde commence par se changer soi-même. Il est possible d’accepter ce qui est, tout en cherchant à changer les choses qui ne reflètent plus ton sentiment le plus élevé de qui tu es. Ton âme est aussi présente ici pour travailler au changement de certaines circonstances terrestres. Elle doit effectuer sa mission. Écoute son appel. Agis de manière constructive en te demandant ce que tu as trouvé de mauvais et ce que tu veux faire, à ton niveau, pour le rendre meilleur.

La guerre est parfois nécessaire pour faire cesser ce qui est mal. Chaque être a le devoir moral de faire cesser une agression envers autrui ou envers lui-même. Il ne s’agit pas, comme le comprennent à tort certains humains de faire du mal. Il faut entendre ici le mot “guerre” aussi au sens de combat, d’opposition, de prise de position. On peut donc faire la guerre en étant non violent.

Qu’en est-il de l’enfer ? 

L’être humain a longtemps véhiculé et véhicule encore aujourd’hui l’idée d’un enfer punitif imposé par un Dieu jugeur. Il imagine même parfois, en ce lieu terrifiant, les pires tortures existantes. L’enfer existe d’une certaine façon, mais n’a en réalité rien à voir avec les fantasmes humains transmis depuis la nuit des temps.

L’enfer pour une âme est de faire l’expérience du pire résultat possible relativement à ce qu’elle a créé. L’enfer n’est pas un lieu mais un état qui est la conséquence naturelle de toute pensée qui nie Dieu. L’âme qui est en enfer est l’âme qui est séparée de Dieu et donc de son essence.

Ce n’est pas Dieu qui nous “met” en enfer, en distinguant les bons des mauvais. C’est nous-mêmes qui récoltons ce que nous semons par la force des lois universelles qui régissent l’ensemble de la création.

L’enfer n’est pas une punition, ni nécessairement un état définitif. Ce n’est que le résultat d’une cause à effet. Par exemple, si vous sautez dans le vide, vous tombez au sol. Vous n’estimez pas pour autant que cette chute est un châtiment, mais simplement le résultat d’une loi physique. Il en va exactement de même pour les lois énergétiques qui impliquent des conséquences, des aboutissements naturels et prévisibles.

Dieu n’a pas besoin de prendre de revanche sur les hommes, même quand ils se trompent. Encore moins, du haut de sa perfection, d’inventer des châtiments dignes du plus cruel des êtres humains. Dieu ne ressemble nullement aux projections purement terrestres des hommes.

Développer sa spiritualité 

Développer sa spiritualité, c’est évoluer, c’est se reconnecter avec sa conscience supérieure et progressivement ne faire plus qu’un avec elle. Beaucoup de personnes disent vouloir développer leur spiritualité. Mais quel niveau d’importance accordent-elles réellement à ce désir ? Quel temps sont-elles prêtes à mettre  et quels efforts à faire pour réaliser ce souhait ?

En réalité, pas beaucoup. Le plus grand problème de l’homme, c’est qu’il voudrait atteindre son objectif, aussi grand soit-il, sans travail. Pourtant, se développer spirituellement est une création continue, un acte de conscience suprême au jour le jour, un effort et une rigueur de chaque instant. Rester en alignement avec soi-même dans un monde qui tente de nous changer sans cesse demande de la motivation, de la détermination, de la concentration, de l’acharnement.

La santé humaine 

Beaucoup de personnes souffrent de problèmes de santé, parfois même chroniques. Le corps et l’esprit sont étroitement liés. Toute manifestation du corps trouve son origine, entre autres, dans la pensée. Le corps exprime les maux de l’âme.

Tout d’abord, tout le monde affirme vouloir être en bonne santé, mais combien prennent réellement soin de leur corps, leur véhicule terrestre ? Combien accordent de l’attention à leur corps avant que ce dernier ne leur signale une défaillance ?

Par exemple, nous savons de plus en plus combien la nourriture que nous achetons et la quantité de certains aliments que nous mangeons à outrance sont néfastes à notre organisme. Pourtant, nous ne modifions pas ou peu nos habitudes alimentaires. Parfois même nous sommes agacés de recevoir ces informations, les jugeant comme moralisatrices, cherchant à perturber notre petit confort.

De même grand nombre de gens consomment en toute connaissance de cause des substances ouvertement dangereuses pour la santé, comme la cigarette ou l’alcool. Elles disent assumer les risques qu’elles encourent. Mais combien seront réellement capables d’affronter les conséquences physiques de ces choix le jour où elles se présenteront vraiment ?

Nous nous occupons au quotidien davantage de nos biens matériels que de notre bien de chair, qui nous est en réalité bien plus indispensable. Les conditions dans lesquelles nous demandons à notre corps de survivre sont tout à fait inadéquates. Bien souvent, ce merveilleux engin continue à avancer péniblement. Le jour où à bout de force il tombe en panne, nous ne réalisons même pas les efforts immenses qu’il a préalablement fourni pour rester debout.

C’est probablement difficile à accepter, mais l’être humain de manière générale n’a pas beaucoup de volonté à vivre. Il ne commence à réaliser la valeur de la vie qu’une fois que celle-ci est déjà menacée.

Il faut également noter combien les pensées que nous nourrissons toute notre vie influencent notre corps physique. La peur, le jugement, la haine, la colère, l’inquiétude, la pression, le désamour de soi nous ronge véritablement de l’intérieur et de l’extérieur ! Nous gaspillons notre énergie mentale et cela crée des réactions biochimiques nocives pour l’organisme.

Une fois que la pensée négative a pris une forme physique, il est extrêmement plus complexe de la faire disparaître. Cette démarche demande une foi immense, dont peu de personnes disposent actuellement. Il est capital de prendre conscience de l’ensemble de ces réalités pour axer notre travail aussi sur la prévention.

Conversations avec Dieu traite d’une multitude de thèmes existentiels. Il apporte quelques éléments de réponses aux questions que se posent les hommes depuis la nuit des temps. Je me suis permis de vous en retranscrire quelques-uns par le biais de cet article. Ce dernier ne remplacera cependant pas votre propre lecture et votre propre regard sur les informations que vous y trouverez. Quoi qu’il en soit, prenez uniquement ce qui résonne en vous à l’heure actuelle !

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